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Pour les dossiers juridiques,
  • Kbis, derniers statuts,
  • Dossiers d’archives,
  • Dernières factures.  

Historique

  •  2 mai 2024
    Publié le : 15/05/2024 15 mai mai 05 2024
    Veille juridique
    Veille juridique / Droit bancaire et des assurances
    Il résulte des articles 1315 et 1147 du code civil que le banquier qui propose à son client, auquel il consent un prêt, d’adhérer au contrat d’assurance de groupe qu’il a souscrit à l’effet de garantir, en cas de survenance de divers risques, l’exécution de tout ou partie de ses engagements, est tenu de rapporter la preuve qu’il exécuté son devoir de l’éclairer sur l’adéquation des risques couverts à sa situation personnelle d’emprunteur, la remise d’une notice claire ne suffisant pas à satisfaire à cette obligation. Lorsqu’un emprunteur n’adhère pas au contrat d’assurance de groupe proposé par la banque prêteuse à l’effet de garantir, en cas de survenance de divers risques, l’exécution de tout ou partie de ses engagements, il appartient à la banque de l’éclairer sur l’adéquation d’un défaut d’assurance à sa situation personnelle et de rapporter la preuve de l’exécution de son obligation.

    Cass. Com. 2 mai 2024, 22-21.642
  • 4 avril 2024
    Publié le : 22/04/2024 22 avril avr. 04 2024
    Veille juridique
    Veille juridique / Droit bancaire et des assurances
    La caution qui n’a pas été invitée par le créancier à établir une fiche de renseignements n’est pas tenue de déclarer spontanément l’existence d’engagements antérieurs, de sorte qu’en l’absence de telles déclarations, l’ensemble de ses biens et revenus, dont elle établit l’existence, doit être pris en compte pour apprécier l’existence d’une éventuelle disproportion manifeste de son engagement. 

    Cass. Chambre commerciale, 4 avril 2024, 22-21.880, Publié au bulletin 

     
  • 4 avril 2024
    Publié le : 22/04/2024 22 avril avr. 04 2024
    Veille juridique
    Veille juridique / Droit bancaire et des assurances
    Veille juridique / Recouvrement de créances
    Lorsque la caution exerce son recours personnel après paiement, le débiteur ne peut pas lui opposer les exceptions et moyens de défense dont il aurait disposé à l’égard du créancier : impossibilité d’opposition des mesures de rééchelonnement à la caution dans le cadre d’un plan de surendettement. 

    Cass. Chambre civile 1, 4 avril 2024, 22-18.822, Publié au bulletin 
     
  • 4 avril 2024
    Publié le : 22/04/2024 22 avril avr. 04 2024
    Veille juridique
    Veille juridique / Droit bancaire et des assurances
    Veille juridique / Recouvrement de créances
    La caution subrogée peut utiliser les droits et actions du créancier, sauf ceux exclusivement attachés à sa personne. Ainsi, la clause de déchéance du terme ne peut être mise en mouvement par la caution au stade de la contribution à la dette quand elle fait usage de la subrogation personnelle.

    Cass, Chambre civile 1, 4 avril 2024, 22-23.040, Publié au bulletin 

     
  • 13 mars 2024
    Publié le : 03/04/2024 03 avril avr. 04 2024
    Veille juridique
    Veille juridique / Droit bancaire et des assurances
    Il résulte du régime d’exonération partielle d’impôt de solidarité sur la fortune « Dutreil-ISF », que les parts ou les actions d'une société ayant une activité industrielle, commerciale, artisanale, agricole ou libérale ne sont pas comprises dans les bases d'imposition à l'ISF, à concurrence des trois quarts de leur valeur, si elles remplissent certaines conditions limitativement énumérées. Il importe peu que la période d'imposition soit postérieure à la durée de conservation des titres. Ainsi, même postérieurement à la période visée par l'engagement de conservation des titres, l'éligibilité à ce régime reste soumise à la condition que la société exerce une activité industrielle, commerciale, artisanale, agricole ou libérale, cette condition devant être remplie au 1er janvier de chaque année concernée par la déclaration

    Cour de cassation, civile, Chambre commerciale, 13 mars 2024, 22-15.300, Publié au bulletin
     
  • 15 février 2024
    Publié le : 02/04/2024 02 avril avr. 04 2024
    Veille juridique
    Veille juridique / Droit bancaire et des assurances
    Ne constitue pas un accident, au sens de la loi Badinter, celui qui, volontairement provoqué par le conducteur ou un tiers, ne présente pas, de ce fait, un caractère fortuit.

    Cass., Chambre civile 2, 15 février 2024, 21-22.319, Publié au bulletin 

     
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