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13 juin 2024

Publié le : 02/07/2024 02 juillet juil. 07 2024

Un local affecté à un usage d’habitation au 1er janvier 1970 ne perd pas cet usage lorsqu’il est ultérieurement réuni avec un autre local, quel que soit l’usage de ce dernier.

Cass. civile, Chambre civile 3, 13 juin 2024, 23-11.053, Publié au bulletin 
 

Historique

  • 13 juin 2024
    Publié le : 02/07/2024 02 juillet juil. 07 2024
    Veille juridique
    Veille juridique / Construction, immobilier et urbanisme
    Un local affecté à un usage d’habitation au 1er janvier 1970 ne perd pas cet usage lorsqu’il est ultérieurement réuni avec un autre local, quel que soit l’usage de ce dernier.

    Cass. civile, Chambre civile 3, 13 juin 2024, 23-11.053, Publié au bulletin 

     
  • 26 juin 2024
    Publié le : 01/07/2024 01 juillet juil. 07 2024
    Veille juridique
    Veille juridique / Contentieux des affaires
    Le Conseil constitutionnel a consacré l’obligation d’informer le magistrat judiciaire qui comparaît devant la formation disciplinaire du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) de son droit à garder le silence.

    Décision n° 2024-1097 QPC du 26 juin 2024 - Légifrance (legifrance.gouv.fr)

     
  • 18 juin 2024
    Publié le : 01/07/2024 01 juillet juil. 07 2024
    Veille juridique
    Veille juridique / Droit économique, de la distribution et de la concurrence
    La nouvelle chambre 5-12 de la Cour d’appel de Paris dédiée aux « contentieux émergents » (devoir de vigilance et responsabilité écologique) a rendu trois arrêts importants en matière de devoir de vigilance. Elle a précisé la fonction et le contenu de la mise en demeure, clarifié l’exigence d’un intérêt à agir dans le contexte spécifique du contentieux climatique, reconnu la possibilité d’invoquer à titre complémentaire un autre fondement que le devoir de vigilance. 

    Cour d'appel de Paris, Pôle 5 chambre 12, 18 juin 2024, n° 23/14348 | Doctrine

     
  • 6 juin 2024
    Publié le : 01/07/2024 01 juillet juil. 07 2024
    Veille juridique
    Veille juridique / Construction, immobilier et urbanisme
    Le garant d’achèvement, dans le cadre d’un contrat de construction de maison individuelle, ne saurait agir à titre subrogatoire contre l’assureur dommages-ouvrage pour des non-conformités contractuelles, et ce même quand ces dernières conduisent à la démolition-reconstruction de l’ouvrage. L’existence d’un dommage matériel de gravité décennale, né d’un vice résultant de l’édification est requise pour ce faire.  

    Cass., Chambre civile 3, 6 juin 2024, 23-11.336, Publié au bulletin 


     
  • Contrat de prêt et déchéance du terme : l’absence du jeu d’une clause jugée abusive
    Publié le : 27/06/2024 27 juin juin 06 2024
    Recouvrement de créances
    Banque
    Contrat de prêt et déchéance du terme : l’absence du jeu d’une clause jugée abusive
    Cass. 1ère civ., 29 mai 2024, n°23-12.904 La clause prévue au contrat offrant à la banque la possibilité d’exiger un remboursement immédiat des sommes restant dues au titre d’un prêt, sans préavis raisonnable ni formalité judiciaire particulière, est qualifiée d’abusive et ainsi non-écrite...
  • 13 juin 2024
    Publié le : 27/06/2024 27 juin juin 06 2024
    Veille juridique / Contentieux des affaires
    En subordonnant l'absence d'application de l'article 908 du code de procédure civile, dans une procédure fixée selon les dispositions de l'article 905 du même code, à la condition que la fixation de l'affaire à bref délai intervienne dans le délai de trois mois à compter de la déclaration d'appel, la cour d'appel, qui a ajouté à la loi une condition qu'elle ne comporte pas, a violé les  articles 905, 907 et 908 du code de procédure civile, dans leur rédaction antérieure au décret n° 2017-891 du 6 mai 2017.

    Cass. Civ. 2ème, 13 juin 2024, n°22-13.648
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