Assistance
Suivez-nous
Afin de toujours mieux tenir informés ses clients, le cabinet pivoine dispose d’un espace « extranet » pour partager avec eux les informations et données qui les concernent en toute sécurité.
 
Ils peuvent accéder à leur espace client :
Pour les dossiers judiciaires, sont accessibles notamment les
  • Actes de procédures (assignation, conclusions…)
  • Pièces communiquées dans le cadre de la procédure et aux pièces adverses,
  • Décisions de justice (jugement, arrêts…)
  • Dernières factures.

Pour les dossiers juridiques,
  • Kbis, derniers statuts,
  • Dossiers d’archives,
  • Dernières factures.  

13 mars 2024

Publié le : 22/03/2024 22 mars mars 03 2024

Précisions importantes de la première chambre civile en matière de licéité du contenu contractuel et de convention sur la prescription dans le contexte d’un contrat de service de communications électroniques.

Cass., Chambre civile 1, 13 mars 2024, 22-12.345, Publié au bulletin 
 

Historique

  • 13 mars 2024
    Publié le : 22/03/2024 22 mars mars 03 2024
    Veille juridique
    Veille juridique / Contentieux des affaires
    Précisions importantes de la première chambre civile en matière de licéité du contenu contractuel et de convention sur la prescription dans le contexte d’un contrat de service de communications électroniques.

    Cass., Chambre civile 1, 13 mars 2024, 22-12.345, Publié au bulletin 

     
  • 13 mars 2024
    Publié le : 22/03/2024 22 mars mars 03 2024
    Veille juridique
    Veille juridique / Droit bancaire et des assurances
    La chambre commerciale précise qu’il ne peut être tenu compte d’une fiche de renseignements signée postérieurement au cautionnement pour l’appréciation de la disproportion de l’engagement souscrit au sens de l’article L. 341-4 ancien du code de la consommation.

    Cass., Chambre commerciale, 13 mars 2024, 22-19.900, Publié au bulletin 

     
  • 29 février 2024
    Publié le : 22/03/2024 22 mars mars 03 2024
    Veille juridique
    Veille juridique / Droit économique, de la distribution et de la concurrence
    Il appartient à la juridiction nationale d’apprécier factuellement si le prestataire du service numérique se borne, par une prestation propre et distincte de la vente, à mettre en relation des pharmaciens et des acheteurs de médicaments sans ordonnance, ou si ce prestataire doit être regardé comme étant lui-même un vendeur pour déterminer si une plateforme d’intermédiation peut être interdite en application de la législation pharmaceutique et ce, conformément au droit de l’Union.

    CURIA - CJUE 29 févr. 2024, Doctipharma c/ UDGPO, aff. C-606/21 

     
  • 28 février 2024
    Publié le : 22/03/2024 22 mars mars 03 2024
    Veille juridique
    Veille juridique / Pénal des affaires
    La chambre criminelle est venue préciser les contours du délit d’entrave à l’exercice des fonctions du commissaire aux comptes en retenant que le simple refus de fournir sur place les pièces nécessaires à l’exercice de ses missions suffit pour caractériser l’infraction. Pour la Cour de cassation, il n’est pas besoin de caractériser, en outre, une volonté du gérant d’entraver la mission de ce dernier.

    Cass., criminelle, Chambre criminelle, 28 février 2024, 23-81.826, Publié au bulletin 

     
  • 14 mars 2024
    Publié le : 20/03/2024 20 mars mars 03 2024
    Veille juridique
    Veille juridique / Responsabilité contractuelle et conflits commerciaux
    Si la juridiction judiciaire est compétente pour connaître d'une action en indemnisation formée par le preneur d'un local donné à bail commercial par une personne publique, la juridiction administrative est seule compétente pour connaître de l'action en indemnisation de dommages de travaux publics, alors même qu'il existe un bail commercial entre la personne publique pour le compte de laquelle sont effectués les travaux et la victime de ces dommages. En conséquence, il appartient au juge judiciaire saisi d'une exception d'incompétence de déterminer, indépendamment du fondement juridique invoqué, si les demandes ne tendent pas à la réparation de dommages causés par des travaux publics

    Cour de cassation, civile, Chambre civile 2, 14 mars 2024, 22-24.222
  • 7 mars 2024
    Publié le : 20/03/2024 20 mars mars 03 2024
    Veille juridique
    Veille juridique / Contentieux des affaires
    Revirement ; lorsqu’elles ont accompli, conformément notamment aux dispositions de l’article 910-4 du code de procédure civile, l’ensemble des charges leur incombant dans les délais Magendie prévus dans le cadre d’une procédure appel avec représentation obligatoire, sans plus rien avoir à ajouter au soutien de leurs prétentions respectives, les parties sont présumées ne plus avoir de diligence utile à effectuer en vue de faire avancer l’affaire, la direction de la procédure leur échappant alors au profit du conseiller de la mise en état, de sorte que la péremption ne court plus à leur encontre, et la demande de « clôture et fixation » n’est alors plus requise pour l’interrompre, sauf si le conseiller de la mise en état fixe un calendrier ou leur enjoint d’accomplir une diligence particulière. Lorsque le conseiller de la mise en état n’a pas été en mesure de fixer, avant l’expiration du délai de péremption de l’instance, la date de la clôture ainsi que celle des plaidoiries, il ne saurait être imposé aux parties de solliciter la fixation de la date des débats à la seule fin d’interrompre le cours de la péremption. 

    Cour de cassation, civile, Chambre civile 2, 7 mars 2024, 21-19.475
<< < ... 29 30 31 32 33 34 35 ... > >>