18 juin 2024
Publié le :
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La nouvelle chambre 5-12 de la Cour d’appel de Paris dédiée aux « contentieux émergents » (devoir de vigilance et responsabilité écologique) a rendu trois arrêts importants en matière de devoir de vigilance. Elle a précisé la fonction et le contenu de la mise en demeure, clarifié l’exigence d’un intérêt à agir dans le contexte spécifique du contentieux climatique, reconnu la possibilité d’invoquer à titre complémentaire un autre fondement que le devoir de vigilance.
Cour d'appel de Paris, Pôle 5 chambre 12, 18 juin 2024, n° 23/14348 | Doctrine
Historique
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18 juin 2024
Publié le : 01/07/2024 01 juillet juil. 07 2024Veille juridiqueVeille juridique / Droit économique, de la distribution et de la concurrenceLa nouvelle chambre 5-12 de la Cour d’appel de Paris dédiée aux « contentieux émergents » (devoir de vigilance et responsabilité écologique) a rendu trois arrêts importants en matière de devoir de vigilance. Elle a précisé la fonction et le contenu de la mise en demeure, clarifié l’exigence d’un intérêt à agir dans le contexte spécifique du contentieux climatique, reconnu la possibilité d’invoquer à titre complémentaire un autre fondement que le devoir de vigilance.
Cour d'appel de Paris, Pôle 5 chambre 12, 18 juin 2024, n° 23/14348 | Doctrine
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6 juin 2024
Publié le : 01/07/2024 01 juillet juil. 07 2024Veille juridiqueVeille juridique / Construction, immobilier et urbanismeLe garant d’achèvement, dans le cadre d’un contrat de construction de maison individuelle, ne saurait agir à titre subrogatoire contre l’assureur dommages-ouvrage pour des non-conformités contractuelles, et ce même quand ces dernières conduisent à la démolition-reconstruction de l’ouvrage. L’existence d’un dommage matériel de gravité décennale, né d’un vice résultant de l’édification est requise pour ce faire.
Cass., Chambre civile 3, 6 juin 2024, 23-11.336, Publié au bulletin
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13 juin 2024
Publié le : 27/06/2024 27 juin juin 06 2024Veille juridiqueVeille juridique / Contentieux des affairesLes dispositions de l'article 10 de la loi n° 2023-668 du 27 juillet 2023, en ce qu'elles modifient le délai minimal imparti au locataire pour s'acquitter de sa dette après la délivrance d'un commandement de payer visant la clause résolutoire insérée au bail prévu par l'article 24, alinéa 1er et 1°, de la loi n° 89-462 du 6 juillet 1989, n'ont pas pour effet de modifier les délais figurant dans les clauses contractuelles des baux en cours au jour de l'entrée en vigueur de la loi.
Cass. Civ. 3ème, 13 juin 2024, n°24-70.002
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19 juin 2024
Publié le : 26/06/2024 26 juin juin 06 2024Veille juridiqueVeille juridique / Contentieux des affairesLe vendeur professionnel est tenu d’une obligation d'information et de conseil, inhérente au contrat de vente, qui lui incombait au regard des caractéristiques de l'ensemble des matériaux vendus et des conditions raisonnablement prévisibles de leur transport par un non-professionnel.
Cass. Civ. 1ère, 19 juin 2024, n°21-19.972 -
14 juin 2024
Publié le : 26/06/2024 26 juin juin 06 2024Veille juridiqueVeille juridique / Construction, immobilier et urbanismeLorsqu’il est excipé de l’illégalité d’un vice affectant l’acte déclaratif d’utilité publique à l’appui d’un recours formé contre un arrêté de cessibilité, le juge administratif ne peut pas sursoir à statuer aux fins de régularisation de l’acte.
CE, 6ème - 5ème chambres réunies, 14 juin 2024, n°475559 -
17 juin 2024
Publié le : 24/06/2024 24 juin juin 06 2024Veille juridiqueVeille juridique / Corporate, droit des sociétés, financementLe Conseil d’État pose les limites du régime de libéralités consenties aux associations pour posséder et administrer tous immeubles acquis à titre gratuit.
Conseil d'État, 10ème - 9ème chambres réunies, 17/06/2024, 471531, Publié au recueil Lebon